Myriam Roussel
(Lyon - France)

Fondatrice de Rouge Comme Une Pivoine

Je  m’appelle Myriam Roussel. J’ai 42 ans, j’habite dans l’ouest lyonnais. Je propose des formations à l’art des fleurs en sucre.J’accompagne les pâtissiers professionnels dans leur processus de création.

Donc, à la fois dans la confection proprement dite des fleurs, mais aussi sur le côté création artistique avec la notion de colorimétrie de volume, etc… pour qu’à la fin de l’accompagnement, ils soient capables de créer leurs propres arrangements sur leurs propres gâteaux.

Ce sont des fleurs modelées à la main dans une pâte qui ressemble à de la pâte à sucre. Une pâte à sucre un peu améliorée. Ce sont des fleurs les plus réalistes possible, avec des couleurs, des détails qui se rapprochent des vraies fleurs.

Le but, est de donner l’impression d’avoir des vraies fleurs sur un gâteau avectous les avantages de fausses fleurs, en termes de toxicité, pesticides, le fait que cela fane très vite. Les vraies fleurs demandent une organisation dans les gâteaux, les mariages où les clients demandent un certain type de fleurs. Ce sont souvent des fleurs qui fanent vite. Donc c’est compliqué pour les pâtisser et pour les fleuristes d’arriver à fournir ce que les clients veulent.

L’avantage, c’est que c’est immortel. Donc on peut les faire quand on veut et on les garde, le temps qu’on veut. Le client peut le conserver après.

Mon but c’est de rendre ça réaliste. Il faut observer un minimum les vraies fleurs. On ne peut pas créer juste à partir d’une photo. Il vaut mieux avoir les spécimens pour avoir les dimensions, etc…Parce que j’essaie aussi de conserver des dimensions. On peut faire des fleurs énormes ou des fleurs toutes petites, mais j’aime garder la notion de proportion. Je ne vais pas faire un bouton d’or plus gros qu’une pivoine, par exemple.

Et puis, il y a tout un matériel adapté pour pour avoir des choses qui sont botaniquement corrects

Mon entreprise s’appelle Rouge Comme Une Pivoine.

Je suis aussi pâtissière de formation. Au départ, c’était les gâteaux mais c’est vrai qu’il y avait ce côté qui me semblait énorme trop au niveau de tout ce qu’il fallait savoir, pouvoir pouvoir produire. J’ai cette particularité qui est de faire des fleurs en sucre sur mes gâteaux. Et comme je suis chimiste à la base, il y a l’aspect technique qui est très important pour moi : la rigueur, la minutie, le côté. Donc je retrouvais tous ces aspects dans la confection de fleurs en sucre.

Et il y a aussi tout le côté artistique que parce que je suis d’une famille où ma mère et ma grand-mère peignent, on est musicien, dans les arts. Donc ce côté esthétique de la décoration de gâteaux allié à ce côté technique, c’est ce qui me correspondait… plus que de produire des gâteaux. (Le côté production me faisait peur).

Et puis le côté conseil, accompagnement me plaît, pour que ce que j’ai accumulé comme expérience serve aussi à d’autres, et qu’ils n’aient pas à réinventer l’eau chaude.

Mon activité s’adresse à des pâtissiers professionnels et aux pâtissers un peu plus amateurs, mais qui qui connaissent parce que finalement c’est quelque chose de très niché. Cela reste destiné aux personnes qui sont assez sensibles à ça et connaisseuses même si ce ne sont pas des professionnels,

Je me souviens que je n’étais pas forcément à l’aise sur le fait d’être autant nichée mais la notion de concurrence était quelque chose qui me faisait très peur en restant sur un projet de pâtisserie simple, car ça a été la mode avec les émissions TV. Les gâteaux décorés poussent de partout. Et même moi qui suis quand même un peu en dehors de la ville, il y en a déjà 3-4 autour de moi.

Donc cette notion de concurrence me faisait peur, surtout que c’est un domaine où les pros tirent les prix vers le bas. Donc, le fait de faire des fleurs, il n’y en a pas beaucoup en France qu’ils le font. Certains le font sur leurs gâteaux , mais il y en pas beaucoup qui proposent des formations.

Maintenant, je trouve que c’est un atout d’être nichée. Je ne me sens même pas concurrencée, finalement et les styles sont trop différents entre les différents professionnels.

Avant de me faire accompagner, je voulais faire de la pâtisserie, j’avais déjà fait un premier accompagnement avec la CMA, pour chiffrer mon projet de production de pâtisserie sur commande,  avec l’idée d’avoir mon propre labo pour vendre aux particuliers. Mais ça coinçait, ne serait ce que sur les chiffres.

Donc j’étais perdu, ça faisait deux ans que j’avais passé le c pâtissier en ayant cette idée de proposer des gâteaux. Et je n’avançais pas parce qu’il y avait des des barrières que je me sentais pas capable de passer et qui, finalement avec le recul, c’étaient des choses que je n’avais même pas envie de surmonter. Et l’idée me paraissait trop banale car plein de gens font ça, qui le font très bien, mais quelque chose coinçait.

Avec le travail introspectif qu’on a fait, j’ai eu l’impression de sortir des choses dont je n’avais pas conscience. C’est un travail qu’on n’arrive pas à faire seul, car quand on est toute seule, on n’a pas compte à rendre.

Et puis toi tu es derrière, tu es là aussi pour faire réfléchir sur certains points auxquels on ne pense pas. C’est difficile de faire la part des choses quand on est seul.

Puis plusieurs fois, tu m’as dit « pourquoi tu fais pas ça? ». Et on se dit « pourquoi je n’y ai pas pensé ? ».

A un moment on parlait de faire tous types de décorations. Et j’ai commencé à me sentir submergée car il fallait beaucoup de matériel.

Alors tu m’as dit « mais pourquoi tu ne fais pas que les fleurs? »

Maintenant ça paraît évident, mais sur le coup, c’était un peu perdre quelque chose. Il fallait accepter d’abandonner des aspects de ma formation de CAP Pâtisserie. Même si ce CAP m’apporte de la crédibilité vis-à-vis des autres pâtissiers. Mais à ce moment-là je ne me sentais pas forcément capable d’abandonner des bagages là, au plus,

Ce que j’attendais de cet accompagnement, c’est un guide, quelqu’un qui est capable de te dire « bon là, tu fais n’importe quoi, fais autrement », ou quelqu’un qui vous secoue ! Parce que finalement tu es bienveillante mais tu sais nous le dire. Donc quelqu’un qui soit capable de faire passer le message.

J’avais déjà échangé avec d’autres personnes avant de te contacter, et avec certains je me disais que ça n’allait pas passer. Donc je cherchais quelqu’un qui était capable d’accompagner en suggérant.

Je voulais trouver une idée d’entreprise sans grain de sable. Parce que le fait d’avoir un labo me dérangeait, ainsi que les prix tirés vers le bas.

J’ai chois de travailler avec toi car une amie qui m’avait parlé de toi. J’avais assisté à un de tes webinaires, j’ai vu que tu avais l’air d’être quelqu’un qui savait de quoi elle parlait, qui avait l’air sympathique, bienveillante. Et tu avais un profit scientifique aussi. On cherche forcément des personnes qui nous ressemblent.

Pour investir j’ai utilisé mes économies.

Aujourd’hui, je suis immatriculée, j’ai démarré, j’ai déjà fait trois ateliers et donc accompagné 4 personnes. Ca se passe bien, je me sens bien pendant les formations, à ma place. Il y aura des choses à mettre en routine avec l’expérience, mais les clients ont l’air contents et ça m’encourage dans cette dans cette voie.

Et puis je n’ai plus ces petits grains de sable qui me gênaient.

Au niveau communication c’est en place, j’essaye d’être régulière. Des choses seront encore à améliorer mais on s’y met, même si ce n’est pas parfait. Ce sont des petites graines.

Sur les aspects de la communication, des offres, etc… c’est aussi une raison pour laquelle il faut se faire accompagner pour savoir quoi faire, parce que clairement, on n’y arrive pas toute seule. C’est un peu « le lapin dans les phares ». C’est quand même bien d’avoir quelqu’un qui amène les besoins basiques, même si on sait que ça va évoluer. Et du coup, on a un socle avec lequel on peut déjà fonctionner pour se lancer.

Pour la fixation des tarifs, quand on est tout seul devant sa feuille, on se demande si le service va réellement apporter quelque chose aux gens. J’avais du mal à me rendre compte que c’était fantastique. Et puis, de l’avoir de l’avoir fait en vrai, de faire une prestation privée avec une pâtissière, elle était très satisfaite.

Ce retour m’a fait me rendre compte que ça plaît, que les clients sont contents d’apprendre. Elle a mis directement application pour ses gâteaux,

Ça aide à me rendre compte de la notion de valeur de mon offre. Le fait qu’ils mettent en œuvre pour leur propre business c’est valorisant.

Avec cette cliente on a appris à faire deux modèles (une version longue et une version rapide) pour lui permettre de monétiser ça et qu’elle puisse vendre des gâteaux avec ce savoir-faire.


Par rapport au fait de se nicher qui pourrait donner l’impression d’avoir moins de clients, ma perception est que  ce ne sont pas des clients « touristes » qui viendrait faire un petit atelier de pâtisserie, et donc où il n’y aurait pas d’enjeu.

Avec la niche, ce sont des gens qui sont engagés, qui veulent apprendre à faire ça, parce qu’ils savent que derrière ils vont pouvoir le valoriser dans leur travail, se démarquer des autres pâtissiers. Il y a des enjeux derrière. Et donc c’est un investissement et ils n’ont pas le même rapport en termes de coûts et puis ils ont l’engagement de refaire derrière. Ils veulent rentabiliser au maximum ce qu’ils apprennent.

Donc pour moi, comme ce n’est pas le même public ça ne me fait pas peur d’être nichée. Sachant que je vais proposer régulièrement des nouveautés. Donc finalement, il y a une offre qui s’améliore perpétuellement. Et puis la notoriété, permet de rayonner plus loin.

Ces clients sont également dans un processus d’amélioration continue qui est un levier de développement de leur activité.


La plus grande transformation que j’ai vécue pendant l’accompagnement c’est je me suis dit « là j’y vais ! ». Car tendance à avancer d’un pas et de reculer de quatre pas.

A un moment de l’accompagnement, je me suis dit « tu ne repars pas en arrière, tu y vas même si tu as peur ». Il y a aussi la notion de regret : « qu’est-ce que tu vas le plus regretter, de ne pas l’avoir fait ou de l’avoir fait ? » Donc maintenant j’avance tout le temps, quoi qu’il arrive. J’essaye, même s’il y a des choses que je vais avoir du mal à mettre en place parce que ce sont des gros challenges.

Et maintenant que je suis immatriculée, je n’ai plus le choix. Il y a ce côté administratif qui donne une obligation de résultat, une responsabilité.


Aux personnes qui hésitent, je dirais qu’il ne faut pas hésiter. Tu connais ton métier, tu sais faire en sorte que les gens donnent le meilleur d’eux, même si parfois c’est dur. Car on n’a pas envie d’y aller !

Par exemple les points vidéo toutes les semaines, on n’a pas envie de le faire, mais quand on l’a fait, on se rend compte que ça apporte. Et puis on sait que si on ne fait pas, tu vas être derrière nous.


En tout cas, d’une manière générale, il ne faut pas hésiter à se faire accompagner parce qu’on gagne des mois d’errance car, tout seul, on tourne en rond.

Je te remercie pour cette année et demie. Je pense que tu vois bien plus la différence d’évolution chez les personnes que tu accompagnes qu’elles-mêmes.  Et il est clair que toute seule, je n’aurais jamais démarré, je serais encore en train de réfléchir à comment faire mon labo.

Finalement on passe au-dessus des blocages et ça se débloque tout seul. Au lieu de perdre un temps fou. Il ne faut pas rester tout seul. Il faut trouver la personne avec qui ça matche et c’est au feeling.

Tu  réfléchis à ton idée de busines Food, tu es bloquée car tu ne sais pas par quoi commencer ? Parlons-en !

Gaëlle Broilliard
(Saint Galmier - France)

Fondatrice de La Fée Capucine

Tu es également à un tournant de ton activité et tu veux travailler sur la restructuration de ton business Food ? Parlons-en !

Fanny Le Hir
(Saint-Malo - France)

Fondatrice de l'Atelier
Retour de Pêche

Tu es également à un tournant de ta carrière et tu réfléchis à un projet de création de business Food ? Parlons-en !

Aïtana Bernajusang
(Peyrehorade- France)

Fondatrice de l'Atelier 40 Cuarenta : sécuriser son business Food en diversifiant son activité

Je suis Aïtana Bernajusang, j’ai 43 ans, j’habite dans les Landes. Je suis la créatrice de l’Atelier 40 Cuarenta, qui consiste à proposer des plateaux de charcuteries ibériques et à distribuer des produits ibériques.

Depuis 6 ans, j’ai aussi une activité dans le négoce de volailles pour les professionnels, à 90% de canards gras qui est une production très locale et qui est très recherchée ici car il y a beaucoup d’activités autour de ce produit. Je travaille en directement avec les producteurs, avec un certain nombre de volailles par an. Je m’occupe ensuite de les distribuer auprès de professionnels qui sont des conserveries, des bouchers et des charcutiers.

Depuis le covid, j’ai également une place au marché de plein air dans le nord des Landes, où je propose des produits à base de canard, d’autres produits comme du poulet et de la pintade ainsi que des conserves à base de canard.

J’ai décidé de diversifier mon activité avec la charcuterie car j’étais impactée chaque année par la grippe aviaire, et on se rendait compte qu’il n’y avait pas de solution à ces épisodes. A chaque fois cela signifiait se remettre en question, attendre que la production revienne, faire attendre mes clients. Je sentais qu’il fallait que je sois à même de proposer autre chose, qui me ressemble, et que j’aime.

Comme je suis d’origine espagnole, je suis partie à la recherche de ces produits espagnols pour les proposer localement et sur le marché.

C’était complètement un choix stratégique pour sécuriser mon activité et avec une envie de changement en touchant directement les particuliers, qui sont une cible que je voulais conquérir et que je ne connaissais pas très bien encore.

J’ai choisi ce produit parce que je l’aime. C’est avant tout un produit plaisir. Celui que je propose est positionné sur du haut de gamme, qu’il est toujours sympa d’avoir chez soi. Soit à ouvrir ou sous forme de plateaux avec des produits différents.

 

Il y a 6 mois, je ne savais pas comment m’y prendre, ni quelles offres proposer, ni comment me faire connaître. J’avais beau être déjà bien ancrée avec les professionnels, les particuliers ne me connaissaient pas du tout. Cela me faisait peur car je ne savais pas par quoi commencer. C’était nouveau pour moi, et je n’avais aucune ligne conductrice.

A l’époque ce projet tombait au moment où je faisais construire mon local professionnel, plus aux normes d’hygiène et adapté à de la matière fraîche, pour mon activité de négoce, et qui devait aussi me permettre de développer de nouvelles choses, de nouvelles idées.

 

J’attendais beaucoup de l’accompagnement car tout était nouveau pour moi. Même si j’avais les bases commerciales, je n’avais pas les bases pour lancer de nouvelles choses, j’avais une autre activité à gérer et j’étais toute seule. J’avais besoin de quelqu’un de l’extérieur pour m’aider à bâtir quelque chose de solide, d’une vision, et qui m’amène tous les piliers pour mener les choses de manière sereine.

 

Gérer la partie volaille et charcuterie, est compliqué en termes de temps, et c’est pour cela que je dois rapidement prendre une décision pour me faire aider. Etant donné que je suis la seule interlocutrice de mes clients sur la partie négoce de volailles, mener de front les 2 activités a été difficile. D’où l’intérêt de se faire accompagner : quand parfois on est à la traîne, ou quand on n’est pas sûre de soi, c’est important d’avoir une personne extérieure qui soit là pour nous rassurer et nous rappeler les objectifs. Cela me semble indispensable.

Ce qui m’a décidée à travailler avec Food Entrepreneures, c’est que j’avais beaucoup apprécié un de tes workshops. Et puis notre 1er échange m’avait plu, le fait que tu accompagnes les femmes me plaisait bien car on a des problématiques particulières. Et la proposition que tu m’avais faite m’avait motivée car tu m’avais montrée que c’était possible et que je pouvais le faire.

Pour financer l’accompagnement, comme j’ai déjà une entreprise, pour moi cela restait un investissement comme un autre, qui est mesuré et calculé. J’avais de la trésorerie, donc c’était le moment ou jamais de me lancer.

 

 J’ai fait un grand pas. Je suis en cours de développement au niveau local, et j’ai pris conscience qu’il faut que je trouve quelqu’un pour s’occuper de la partie communication, de l’administratif et pour que je puisse me consacrer à ce qui m’intéresse vraiment, comme la partie commerciale, tout en continuant le négoce de volailles. Je suis aussi sur les réseaux sociaux, et c’était quelque chose d’inimaginable pour moi, de parler de moi et montrer ce que je fais, et d’avoir une offre.

Je suis désormais dans une dynamique où j’ai plein d’idées de développement, je sais que je peux faire plus. Le site internet va bientôt se mettre en place, alors pourquoi pas une offre sur internet.

Cela m’a pris du temps, parce que je ne savais pas si j’allais y arriver, on passe tous par cette phase et je suis en train de la dépasser.

 

Aujourd’hui, je suis en contact avec des partenaires pour organiser des dégustations dans mon local, où j’ai la chance d’avoir une grande pièce pour organiser cela. J’ai un caviste qui va venir, j’ai aussi d’autres entreprises autour de ma zone avec qui on pourra créer des synergies. C’est en bonne voie. C’est le fait de jouer la proximité dans cette qui zone qui est en train de se développer. Ma présence ici est une opportunité pour proposer mes services pour un buffet ou pour des réunions. J’ai déjà eu des sollicitations pour des réunions, des inaugurations. Je pourrai aussi mettre à disposition ma salle. J’ai organisé des portes ouvertes, j’ai reçu aussi des partenaires avec l’office du tourisme pour leur présenter mon travail.

Le plus grand changement a été de créer cette marque, cette identité et de me faire connaître. C’était le plus gros challenge à dépasser. C’était dense, avec la construction du local, l’activité de négoce, et le lancement !

Je vous dirais de ne pas hésiter à vous faire accompagner. Ce n’est jamais bon de rester seule, ce n’est pas évident de trouver la bonne personne. C’est pour toutes les personnes qui sont dans la Food. Même si je ne suis pas dans la restauration, ou la cuisine, j’ai trouvé auprès de toi l’accompagnement que je recherchais. Si vous êtes des personnes à la recherche d’une aide bienveillante, à l’écoute et ciblée, avec des objectifs, vous êtes au bon endroit !

Je te dis merci pour tout ce chemin parcouru, je n’hésiterai pas à te recommander.

 

 

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Cynthia Pierini
(Nîmes- France)

Photographe culinaire qui souhaite développer sa visibilité sur LinkedIn

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Anouck Koos
(Soultz- France)

Fondatrice de Cake Me Feel Good

Je m’appelle Anouck, j’ai 41 ans et je suis actuellement en reconversion professionnelle. J’ai été formatrice et coordinatrice pédagogique pendant plus de 10 ans. J’ai décidé de passer un CAP Pâtissier pour créer mon entreprise par la suite.

J’ai créé Cake Me Feel Good, dans le domaine de la pâtisserie raisonnée. C’est une entreprise qui organise des ateliers de pâtisserie raisonnée, avec moins de sucre, à index glycémique bas. Le but est d’aider les particuliers à réaliser eux-mêmes leurs pâtisseries préférées en version IG bas. C’est à destination de toutes les personnes qui se soucient de leur santé, de leur consommation de sucre, mais aussi aux personnes qui ont du diabète et qui ne sauraient pas comment se faire plaisir avec une pâtisserie qui ne convient pas toujours à leurs contraintes.

Comme j’ai été formatrice pendant 10 ans, j’ai cette fibre qui est d’accompagner, de transmettre mes savoirs, mes connaissances et mon expertise. De même, la pâtisserie est une passion qui me permet de retrouver de la sérénité et du bien-être, c’est aussi un moyen de partager, c’est convivial et c’est également une activité fédératrice.

J’ai donc voulu allier mes 2 expertises : la formation et la pâtisserie, en me spécialisant sur l’IG bas, car j’avais un papa qui était diabétique et aussi très gourmand, mais qui n’avait pas la possibilité de manger des dessert avec moins de sucre. Parce que ce n’était pas proposé, parce qu’il n’y a pas de gamme sur le marché qui propose ce genre de pâtisserie raisonnée avec moins de sucre, et à IG bas. J’ai ainsi combiné ces 3 éléments pour créer mon entreprise : Cake Me Feel Good, les ateliers qui vous veulent du bien.

Il y a 1 an, j’avais envie de créer une entreprise mais j’avais énormément d’idées, ça allait dans tous les sens, et je n’arrivais pas à me décider pour une idée qui fasse sens. Je ne savais pas non plus quelles étaient les différentes étapes pour atteindre cet objectif de créer mon entreprise : le client idéal, l’étude de marché, comment on fait tout ça. C’était assez flou dans ma tête, j’avais besoin d’être cadrée et accompagnée dans ces différentes étapes.

J’attendais de cet accompagnement d’avoir un guide qui m’indique les différentes étapes du processus de création, pouvoir les comprendre et les appliquer tout au long de mon parcours, pour pouvoir les ajuster par la suite, moi-même, et devenir autonome. J’avais aussi besoin de quelqu’un pour répondre à mes questionnements, à l’évolution de mon parcours.

A l’époque j’avais fait une rupture conventionnelle et je savais que l’entrée en CAP ne se ferait qu’en octobre. J’ai pris un CDD en attendant, et, en parallèle, j’ai aussi décidé de démarrer l’accompagnement avec toi car je me suis dit que si je ne le faisais pas tout de suite, d’ici la fin du CAP, je n’aurais rien fait. Je me suis dit que si je ne me mettais pas un coup de pied au derrière, l’année prochaine, j’en serais au même point : avec un CAP qui se termine, sans savoir ce que je fais ensuite. Alors que là, mon CAP se termine dans 3 mois, et je sais déjà où je vais et comment j’y vais.

En optimisant ces actions majeures, j’ai gagné du temps, je démarre mon activité sereinement, parce du coup qu’il me reste encore de l’aide du Pôle Emploi, qui me permettra de démarrer mon entreprise sans stress, et de prendre le temps de la développer. Sans me dire tous les jours que je dois rentrer de l’argent, alors que je suis en plein lancement.

Ca n’a pas toujours été simple de gérer tout cela en même temps. Je me dégageais ½ heure voire, 1h en soirée. Je m’allouais du temps le week-end. Il y a eu des moments avec des hauts et des bas, mais si je ne l’avais pas fait, je n’en serais pas là aujourd’hui. Il faut se donner un objectif et faire ce qu’il faut pour l’atteindre.

Ce qui m’a motivée à passer le CAP maintenant c’est que j’avais déjà quelques connaissances en pâtisserie, mais en se lançant dans l’IG bas, on dérègle tout ce qu’il y a dans la pâtisserie classique. Or, si on ne comprend pas déjà toute la pâtisserie classique, toute sa chimique, c’est encore plus compliqué de mettre en place une pâtisserie à IG bas. Car on va modifier les farines, les sucres, les réduire, et on va alors modifier les textures. Le CAP me permet de poser mes bases et d’avoir toutes les compétences pour faire ces modifications.

Il y a 1 an, je cherchais quelqu’un pour m’accompagner, qui soit spécialisé dans la Food, avec une expertise dans ce domaine, je ne voulais pas quelqu’un de généraliste. J’ai trouvé ton site sur Internet, j’ai apprécié le fait qu’on est accompagnée par une femme, et tu n’accompagnes que des femmes. Car on vit toutes le même parcours, on est presque toutes mamans, presque toutes en reconversion, à peu près du même âge. Et puis on a toutes les mêmes questionnements, les mêmes problématiques d’organisation, et c’était important de me sentir en confiance avec la coach et l’ensemble du groupe, pour pouvoir partager librement, sans jugement et sans complexe.

Pour trouver l’argent à investir dans cet accompagnement, j’ai utilisé la prime de départ suite à ma rupture conventionnelle. Je savais que ce serait cet argent que j’utiliserais pour investir dans ma création d’entreprise. Donc je l’avais gardé pour investir en moi, dans mon entreprise, parce que c’est comme ça qu’on arrive à avancer.

Aujourd’hui, j’ai trouvé mon idée d’entreprise, j’ai toutes les étapes pour la suite, et pour le fonctionnement de l’entreprise en elle-même : l’organisation, la stratégie et le marketing, les aspects financiers. L’objectif désormais, c’est la création (administrative) pour démarrer dès l’automne.

J’étais arrivée avec mille idées et l’accompagnement m’a permis de me recentrer et d’affiner au fur et à mesure le projet. C’est vrai qu’au départ, j’étais sur une idée de salon de thé, voire d’évènementiel. J’avais les mots, je savais que je voulais quelque chose de convivial, du partage, mais je ne savais pas forcément quoi.

Or, comme je venais de sortir du métier de la formation, la notion d’accompagnement, c’était un mot que je ne voulais plus du tout entendre ! Au fur et à mesure de la phase d’introspection, je me suis rendue compte que c’était dans mon ADN. Ca m’a permis de remettre le train sur les rails. Et puis il y a aussi ce qu’on a au plus profond de soi, qui est beaucoup plus personnel : mon histoire familiale est beaucoup centrée sur le handicap, la maladie, la douleur, le diabète. Et à un moment donné, il y a eu un déclic. Ce travail m’a vraiment permis de me positionner et d’être sûre de ce que j’allais faire.

Maintenant je sais où je vais, comment j’y vais et quand y aller. J’ai un site internet en construction qui arrive bientôt, d’ici la fin du CAP !

Mon grand changement durant ces 11 derniers mois, c’est certainement la posture. Quand on arrive dans l’accompagnement, on se sent toute petite. La pâtisserie était une passion mais je n’étais pas totalement dans le domaine, ni dans l’immersion totale d’une entreprise, d’un laboratoire, dans l’organisation. Donc je me sentais illégitime. Mais on prend confiance progressivement avec tout ce qu’on a déjà acquis auparavant, et tout ce qu’on acquiert tout au long du coaching. Avec en plus tous les éléments qui se mettent en place dans la création de l’entreprise. Aujourd’hui je me sens sereine et j’ai une posture de future cheffe d’entreprise, que je n’avais pas il y a 12 mois : je sais que j’aurais tels tarifs, parce que c’est le bon prix, avec les bons produits et le bon service. Je sais de quelle manière je vais le mettre en place, alors qu’avant je me demandais comment j’allais y arriver, si j’allais arriver à me sortir une rémunération, si j’allais trouver un local… Au fur et à mesure, on met les actions en place, et tout arrive spontanément parce justement on a une stratégie derrière, et ce qui est top dans ce coaching.

J’ai aussi intégré un réseau d’entrepreneuses, qui accompagne des futures cheffes d’entreprise sur 8 mois, et qui propose à la fin un prix. On se rencontre un vendredi sur deux, avec différents ateliers qui font écho à ton accompagnement. Cela appuyait tout ce qu’on a vu ensemble, et cela a complété avec des sujets comme les assurances. Ce sont des thématiques transverses qui m’ont permis de terminer « ma toile d’araignée », de rencontrer d’autres personnes physiquement avec le même parcours que moi, dans la Food et autre. C’est aussi ce qui m’a permis de me positionner en tant que cheffe d’entreprise.

Je n’ai pas de complexe à en parler, à communiquer. Je distribue mes cartes de visites spontanément. Dès que je peux en parler et échanger, j’en parle. Cela peut servir aux gens, à leur entourage, je communique sur l’ouverture prochaine de l’entreprise.

Au personnes qui hésitent, je leur dirais de foncer, de ne pas se poser trop de question, de lâcher prise. On nous apprend depuis l’enfance à faire attention à tout, on nous conditionne depuis tout petit à des croyances qui nous limitent. J’ai aussi fait des études dans la mécanique, et on me disait toujours : « tu es une fille, tu ne trouveras jamais de boulot ». Je pense que c’est important de se laisser porter, de se dire qu’on y va, d’enlever toutes ces barrières qu’on s’est mises durant notre éducation jusqu’à devenir femmes, et de se faire accompagner par toi. Tout est limpide, c’est clair, c’est du langage vulgarisé, accessible à tout le monde. On n’a pas besoin d’être experte en marketing, en commerce ou en communication pour être accompagnée par toi. Tu es ouverte, disponible, on peut parler de tout, c’est fluide, c’est facile. On avance au rythme de chacune, pas-à-pas. Donc, foncez !

Je suis ravie d’avoir été accompagnée pendant cette année. Je suis prête pour la suite. Ce n’est pas sans émotion que le coaching se termine. On lie toujours des relations, il y a un lien de confiance qui s’installe. D’ailleurs en visio c’est perturbant ! Ca s’est fait tout seul. Je sais qu’on se suivra sur les réseaux et qu’on restera en contact. Je suis heureuse de ce coaching, de mon investissement et du fait qu’aujourd’hui je suis montée en compétences et en expertise sur différents domaines. Je ne peux qu’approuver cet accompagnement, le conseiller à toutes celles qui hésitent, et aux personnes qui m’entourent qui auraient les mêmes questionnements sur la création d’entreprise.

Tu veux aussi créer ton entreprise dans la Food et tu ne sais pas par quoi commencer ? Parlons-en en séance découverte :

Brigitte
(Pessac - France)

Transformer des idées sans liens apparents en une idée de business Food cohérente

Je suis Brigitte Bérard, je vis à côté de Bordeaux. Je suis maman de 2 grandes femmes. Je suis la fondatrice de Bien Recevoir. et j’accompagne les femmes dans l’organisation de leur 1ère réception de A à Z, sans stress et avec beaucoup de plaisir !

Il s’agit de réceptions familiales, d’anniversaires extraordinaires, un mariage, des fiançailles,  pour de grandes occasions qui sortent de l’ordinaire : celles qui se font dans les règles de l’art mais en toute simplicité. Quand on veut sortir la belle vaisselle, sortir les jolies nappes mais toujours dans la convivialité ! Je veux remettre le bien recevoir au goût du jour mais en toute simplicité, avec beaucoup de plaisir et sans prise de tête, ni stress.

C’est important pour moi car je trouve que bien recevoir, que ce soit les amis ou la famille, c’est un don de soi et ça doit rester un plaisir, ça ne doit pas être une corvée. Néanmoins, le fait de bien recevoir dans les règles de l’art me tient à coeur, car c’est quelque chose qui se perd. De nos jours on fait les chose vite, avec des nappes en papier et des assiettes en cartons. J’aime les choses qui sont faite dans les règles de l’art et c’est possible de le faire en toute simplicité !  Même avec de la belle vaisselle ancienne qu’on aura chinée, par exemple. J’ai à cœur de le transmettre.

J’étais agent immobilier dans la vente de châteaux, j’ai toujours été attirée par les vieilles pierres, par notre histoire, gastronomique et patrimoniale, depuis l’enfance. A ma retraite, j’ai voulu faire quelque chose qui me corresponde complètement.

Avant de commencer l’accompagnement, j’avais plein d’idées (ça j’en ai beaucoup ), et j’avais du mal à les mettre dans l’ordre. Je passais d’une idée à une autre, il y en avait certaines que je ne voulais pas laisser, comme le patrimoine, que je ne voulais impérativement garder.

J’avais donc 2 idées principales que je ne voulais surtout pas quitter : la cuisine et le patrimoine. Je ne voyais pas du tout comment relier les deux pour en faire quelque chose de viable et qui me corresponde profondément.

J’avais besoin de dénouer ce nœud qui était très compliqué. J’en avais même du mal à dormir. Et ceci pour en faire une activité 100% en ligne, qui corresponde à mes valeurs, à mes compétences. Toute seule je n’y arrivais pas. J’attendais beaucoup de l’accompagnement et j’ai eu beaucoup !

J’ai décidé de travailler avec toi durant notre séance découverte. J’ai beaucoup aimé ton approche, ta façon de me faire voir mon fil rouge d’une autre façon, et le courant est très bien passé entre nous. Je ne me voyais pas passer du temps avec une coach avec qui je ne me serais pas entendue.

Pour investir dans cet accompagnement, j’ai eu la chance d’avoir déjà cet argent, sans avoir besoin d’emprunter à mon entourage.

La phase de projet est terminée ! J’ai obtenu ce que je voulais : avoir un business qui me corresponde, avoir enfin LA bonne idée pour avoir l’esprit tranquille. Maintenant, je sais ce que je veux et où je vais. J’ai un fil rouge cohérent, j’ai créé mon business, qui me correspond à 200%, en ligne comme je le souhaitais. Donc tous les objectifs que je m’étais fixés, je les ai atteints.

On fait une introspection sur nous-mêmes et ça c’est super. Tu as une méthode qui fait que, au fil du temps, tout devient cohérent : quelque chose à laquelle on ne pensait pas au début, devient une évidence à un moment. Et puis on se rend compte qu’en fait il était déjà devant nos yeux, et on se dit waouh !

Je suis une femme heureuse et comblée !

Il y a eu beaucoup de changements. Le grand soulagement pour moi ça a été le dénouement de mon fil rouge. Ca n’a pas été immédiat mais c’est venu au fur et à mesure. Ca a été une libération, c’était magnifique. Et d’ailleurs, je l’ai même fêté ! Ce qui fait que je recommande, c’est l’entente avec toi : on travaille dans la joie et la bonne humeur. Allez avec Mélanie, vous recevez des bisous par mail ! 😊

N’hésitez pas. Mélanie est une femme très accessible, à l’écoute. Elle prend le temps de nous répondre longuement et rapidement. C’est une personne très professionnelle. Elle a une méthode qui permet de tout dénouer et d’arriver à un résultat, et parfois même à des révélations. Et ça c’est super !

Tu es très pédagogue, tu n’hésites pas à nous semer des petites graines, comme tu aimes à le dire. On arrive à des résultats qui sont au top, on fait quelque chose de viable qui nous permet de nous épanouir, et d’être en joie? Et ça, ça n’a pas de prix. Je dirais même qu’on en a pour notre argent !

J’ai envie de dire qu’il ne faut pas hésiter de sauter le pas. Ce n’est pas facile mais si j’ai pu le faire, vous pouvez le faire aussi. Si vous n’investissez pas sur vous-même, personne le fera pour vous. Donc foncez et n’hésitez pas !

Tu as aussi plein d’idées et tu ne sais pas comment trouver LE fil rouge pour en faire un business Food qui tienne la route ? Parlons-en en séance découverte :

Vanessa
(Paris- France)

D'une pâtisserie "généraliste" à un positionnement marqué

Je m’appelle Vanessa, j’ai 40 ans et je vis en Ile-de-France. Je suis pâtissière depuis une dizaine d’années, suite à une reconversion professionnelle.

Je suis la fondatrice de Le Dessert d’Abord que j’ai créé il y a environ 1 an. J’accompagne les femmes gourmandes à réaliser des pâtisseries moins sucrées, plus goûtues et plus modernes. Mais aussi pour leur permettre de s’améliorer en pâtisserie et qu’elles deviennent autonomes pour créer leurs propres desserts.

 

Au fil de mon expérience, je me suis rendue compte que les gâteaux que je faisais ou que je mangeais étaient toujours trop sucrés. Or ma maman est diabétique, et comme c’est moi qui fais les desserts lors des anniversaires, j’avais besoin créer des desserts qui soient moins sucrés pour qu’elle puisse profiter des fêtes de famille. C’est la raison pour laquelle je me suis dirigée vers le moins de sucre. Cette mission est née de mon expérience et de ma famille.

 

Avant l’accompagnement, j’avais déjà commencé à travailler sur mon projet. J’avais déjà été accompagnée pendant 8 mois dans une couveuse d’entreprise. A la base je voulais proposer des ateliers de pâtisserie au sens large. Mais je n’avais pas le petit truc en plus par rapport au moins de sucre. J’en étais restée à des ateliers de découvertes, ludiques. Je proposais des ateliers en ligne ou à domicile. A l’époque je n’avais pas encore l’idée du moins de sucre, c’était encore généraliste.

 

L’entrepreneuriat était un monde que je ne connaissais pas. Avec la couveuse, j’ai suivi pas mal de formations mais cela restait abstrait. Il y avait plein de candidats et il n’y avait pas forcément de focus sur l’alimentaire. Et c’est un des points qui m’a fait travailler avec toi. J’avais besoin de me centrer car mon cerveau fuse dans tous les sens ! J’avais besoin d’un regard extérieur pour pouvoir m’orienter de manière précise et arrêter de m’éparpiller.

 

Pendant ma période en couveuse, je t’ai découverte sur Instagram, j’ai participé à tes événements gratuits, je t’ai suivie et puis j’ai fait une demande de séance découverte avec toi pour connaître tes méthodes de travail et voir si on pouvait s’entendre. Ce qui m’a décidée c’est le fait que tu focalisais tes accompagnements sur la Food, tu connais les enjeux, les contraintes. C’était un plus pour moi.

Il y a aussi le fait que tu nous fais faire travail sur nous avant d’aller vers l’activité proprement dite. C’est un gros travail sur nous pour savoir ce qu’on veut, « qui on est », et c’est quelque chose à laquelle je suis sensible.

Pour investir dans cet accompagnement, j’avais de l’argent de côté et j’ai donc pris dans mes économies.

Durant l’accompagnement ça a beaucoup remué. Durant cette période, j’ai fait des allers-retours, j’ai eu pas mal de prises de conscience sur ce que je voulais vraiment. Maintenant je suis au clair sur ce que je veux proposer. J’ai pu remettre mon site internet à jour, aligné avec ce que je propose maintenant. Quand je me suis lancée en 2020, définir une stratégie, mettre en place des process, ce n’était pas clair pour moi. J’avais donc besoin d’un cadre, que ce soit carré pour que je puisse avancer.

Le plus grand changement que j’aie vécu, c’est sur la confiance en moi. C’était un de mes « défauts ».  J’ai pris confiance en moi, sur la notion d’argent aussi, et sur le fait que je suis capable, et que je passe à l’action. C’est un grand changement. C’est également le fait d’avoir trouvé ce que je veux faire, le bon positionnement et le bon message à faire passer.

 

Demandez une séance découverte : cela n’engage à rien et permet de vérifier si le courant passe. Ca permet de découvrir comment tu travailles, ainsi que ta méthode. Il y a les événements gratuits où il y a des informations mais la séance découverte est une bonne solution pour voir si le contenu peut convenir. Il y a aussi le côté développement personnel, si on y est sensible, cela peut vous convenir car cela est intégré dans les coachings.

Merci ! On a passé plusieurs mois ensemble. Ca m’a permis de me cadrer, de définir ce que je veux faire. On s’est lancée et ce n’est pas pour s’arrêter demain. C’est un projet de vie, donc merci !

Tu veux aussi clarifier le positionnement de ton business Food et identifier le bon message à faire passer ?

Cynthia
(Nîmes- France)

De consultante R&D en quête d'une activité qui fait sens
à la valorisation de produits par la photo

Je m’appelle Cynthia Pierini, j’ai 36 ans et j’ai créé Portraits de Goûts qui a pour objectif d’accompagner les entreprises agroalimentaires, et dans les domaines de la Food, à valoriser leurs produits grâce à mon expertise en Recherche & Développement et à la photographie culinaire. Je suis localisée dans le Var.

Cette mission est importante pour moi parce que j’ai envie de valoriser les produits de nos frigos et placards grâce à mon expertise en R&D, pour apporter une valeur ajoutée à ces produits et plus particulièrement dans une démarche de Clean Label, qui est important aux yeux des consommateurs. Ma mission est aussi d’aider ces PME dans la mise en avant de leurs produits, notamment pour leur communication digitale sur les réseaux sociaux, leur site internet, grâce à la photographie culinaire. Sur ce dernier point, j’assemble mes 2 passions : la cuisine (plus particulièrement la pâtisserie) et la photographie.

Avant cela j’étais salariée comme Responsable de laboratoire R&D en agroalimentaire. Au moment de me faire accompagner, je venais de créer mon entreprise dans le consulting, exclusivement R&D en agroalimentaire, mais il manquait quelque chose : je sentais que ce n’étais pas totalement aligné avec mes valeurs. Même si j’avais une petite idée, j’avais besoin de continuer cette démarche pour approfondir ce que je cherchais à faire.

Ce que j’attendais de cet accompagnement c’était d’être rassurée, d’avoir une vision extérieure et neutre pour déterminer à 100% l’activité que je voulais faire, et pour prendre plaisir à la faire tous les jours. J’avais besoin d’avoir quelqu’un pour m’accompagner sur cela.

Au départ, je voulais créer ma biscuiterie mais j’avais peur de me lancer, d’être confrontée à un rythme de production important, de ne plus pouvoir créer mes propres produits, d’être coincée dans une routine. Puis j’ai changé de direction pour me consacrer à la valorisation des produits. Ce qui m’a amenée à ce virage, c’est ton accompagnement qui est articulé autour de plusieurs étapes, dont l’introspection et la recherche d’une activité qui fait sens pour soi. C’est cette étape qui m’a permis de comprendre ce pour quoi j’étais faite, d’aligner mes valeurs avec ma passion, mon expertise et ma vocation. Cela a consisté à des exercices à réaliser quasi quotidiennement. C’était une des étapes qui, pour moi, a été la clé de cette trouvaille de Mission. Cela m’a permis de mettre en lien l’ensemble de tous ces éléments.

A un moment, j’avais même une autre idée en tête qui était d’accompagner les gens dans leur gestion de vie du quotidien, car l’organisation et la planification sont mes compétences en tant qu’ex-cheffe de projets. Mais je ne voyais pas la finalité de la chose, ni le lien avec la création culinaire.

En fait, la photographie culinaire regroupe vraiment l’ensemble de mes aspirations. L’accompagnement m’a vraiment permis de déterminer une activité en lien avec mes passions, mes compétences et mon expertise.

Je t’ai découverte sur les réseaux sociaux. J’étais intéressée par ta méthodologie. J’en ai pris connaissance en allant sur ton site. J’ai profité de la possibilité de faire une séance découverte avec toi et cela m’a permis de confirmer mon choix. J’avais déjà dans l’idée de me faire accompagner sur la création de mon activité et le fait que tu aies un parcours similaire au mien, en agroalimentaire, cela a déclenché mon envie de travailler avec toi. Quand on parle le même langage, c’est beaucoup plus simple d’échanger, de collaborer et de construire quelque chose de fiable et d’efficace.

Pour investir dans cet accompagnement j’ai utilisé mes économies. Mais c’est quelque chose d’important car c’est mon avenir professionnel. Donc, quand on se lance, on ne veut pas aller n’importe où et se lancer dans une activité qui ne marcherait pas. J’ai pris le temps et j’ai investi dans cet accompagnement. Et heureusement ! Car si j’avais lancé ma biscuiterie… ! Ca n’aurait pas été l’idéal !

Aujourd’hui j’ai défini mon activité, je suis en train de créer le contenu de mon site internet, je suis en pleine démarche de recherche de clients. Je suis désormais dans l’action. J’ai mis en place les différentes offres avec leurs tarifs et j’ai construit ma page de venteLe plus grand changement que j’ai vécu c’est le jour où je me suis dit « Ca y est ! Je me lance réellement dans la photographie culinaire » mais aussi lorsque j’ai créé Portraits de Goûts, en donnant un nom qui évoque quelque chose.

Faites cette séance découverte, cela a été pour moi l’élément déclencheur. Cela prend très peu de temps, 30 minutes. C’est important pour sa carrière professionnelle de prendre le temps à un moment donné et de pouvoir déterminer ce qu’on veut faire vraiment, car c’est ce qu’on fera ensuite à temps plein. Il ne faut pas hésiter. Tu accompagnes, tu es présente. Entre les séances on a des échanges réguliers, voire quotidiens par mail. C’est important de le faire et cela m’a permis de me rassurer sur l’activité professionnelle que je voulais faire.

Je voudrais te remercier pour ce que tu m’as apporté. Je vais essayer de prendre mon envol et de poursuivre ce que j’ai à mettre en place, dont la stratégie que l’on a évoquée ensemble. Cela a été un plaisir même si c’était du boulot ! Du bon boulot intense !

Tu aimerais également valider ou trouver ton idée d’entreprise Food ? Parlons-en !

Emmanuelle
(Bordeaux- France)

De pâtissière aux mille et une idées
à cheffe d'entreprise structurée

Je suis Emmanuelle Gouin, j’ai 35 ans et je vis à Bordeaux.

J’ai décidé de créer mon entreprise, Les Ateliers d’Emma, pour accompagner les gourmands qui souhaitent apprendre à pâtisser et progresser.

Avant je travaillais dans le e-commerce au sein d’entreprises privées et d’associations. La pâtisserie a toujours été un gros levier d’épanouissement personnel pour moi. C’est une passion qui a grandi avec le temps et cela m’a donné envie de me reconvertir

Comme cela m’a permis de m’épanouir, j’ai eu envie de transmettre cela aux gens. La pâtisserie permet de faire plaisir à ses proches et c’est ma façon de dire aux gens que je les aime. J’étais aussi très intéressée par les notions autour du bien-être et du bonheur. Cela me donne envie pour la suite, d’approfondir ces ateliers et de pouvoir proposer des ateliers de pâtisserie qui serait à la fois gourmande et soucieuse du bien-être, plus saine, en choisissant mieux les ingrédients ou en réduisant les sucres.

 

Il y a 11 mois, au moment où on a commencé à travailler ensemble, j’avais déjà décidé de me reconvertir, j’avais déjà mon CAP Pâtissier, j’avais créé ma micro-entreprise dans la pâtisserie. Mais j’avais plusieurs idées et j’hésitais aussi avec une activité de traiteur sur de la commande de gâteaux, en plus de 10.000 autres idées à la minute ! J’avais du mal à structurer mon activité, à savoir dans quelle direction aller. J’avais besoin de structure.

J’avais beaucoup d’attentes : qu’on m’aide sur la structure et l’organisation, et avoir un regard extérieur qui me permette de prendre de la hauteur. Car souvent on est plus dans l’opérationnel, de faire des gâteaux et on oublie toute la partie stratégie, marketing et communication qui est importante. J’avais besoin de quelqu’un qui m’accompagne dans cette démarche, qui me donne des outils sur des sujets sur lesquels j’étais moins formée, quelqu’un qui me motive. Le fait d’avoir des rdv récurrents, cela challenge, nous oblige à avancer et nous encourage.

 

L’idée 1ere était les ateliers de pâtisserie mais les restrictions sanitaires successives m’ont freinée et m’ont poussée à faire des gâteaux dans un 1er temps. Cela avait été l’occasion de tester cette activité de production, de faire le point sur ce en quoi je suis douée, d’expérimenter.

A côté de cela on a continué à travailler ensemble sur la construction des offres ateliers, la notion de rentabilité et le calcul des prix. Sur la base de toute cette réflexion et les tests en condition réelles de de production, je me suis rendue compte que cela confirmait que je devais me concentrer sur les ateliers. J’étais dans une phase d’exploration, j’ai besoin de tester les choses pour voir si cela me plait vraiment. J’ai pu tester des recettes, échanger avec les gens car j’avais aussi besoin de ces rencontres. Cela a d’ailleurs confirmé que j’avais envie de plus que juste croiser les personnes au moment de leur donner leur commande. Ce qui me plait dans les ateliers c’est qu’il y a vraiment une rencontre pendant 2-3h durant lesquelles on peut échanger sur la pâtisserie, mais pas que, et passer un bon moment tous ensemble.

Les ateliers faisaient donc sens pour moi car j’avais besoin de rencontres, de créer du lien social, soit par les clients, soit avec des futures collaborations avec d’autres entrepreneur-es.

 

On s’est rencontrée dans un groupe Facebook sur l’entrepreneuriat, ça a été l’occasion d’échanger toutes les deux. J’ai eu l’impression que le feeling était très bien passé. J’ai regardé ton site et tu proposais beaucoup de contenus : cela m’a permis de me rendre compte que cela répondait à mes attentes. J’aimais bien ta démarche qui était bienveillante et très humaine. Je ne cherchais pas une coach qui va nous promettre des choses folles. De même, le fait que tu sois spécialisée dans les domaines de la Food m’a parlé.

J’ai pu financer l’accompagnement grâce à des économies personnelles que j’avais mises de côté sur les dernières années de salariat.

En 1 an il s’est passé beaucoup de choses !

J’ai pu faire le tri dans mes idées, j’appris à me cadrer et à poser une idée à la fois, car avant je m’éparpillais beaucoup. J’ai pu tester en conditions réelles plusieurs activités, savoir laquelle me correspondait le plus, savoir comment créer des offres rentables. Cela m’a mise sur un chemin pour avancer étape par étape, pour construire mes offres, communiquer dessus, travailler sur la confiance en soi qui est super important quand on crée son projet. J’ai encore mille choses à faire ! Mais c’est cela que j’ai apprécié dans l’accompagnement. Car tu apportes bcp de contenus, sur beaucoup de sujets. Et je sais que cela va m’accompagner encore sur les prochains mois et années car on peut revenir dessus quand on a besoin de booster sa communication, par exemple. Je sais que j’ai des trames sur lesquelles je pourrai me reposer, ainsi que des supports de réflexion.

Les ateliers ont démarré en fin d’année et j’ai de bons espoirs sur le fait que ça se développe très bien.

Un des plus gros changements aura été de m’habituer à sortir de ma zone de confort, surtout quand on se lance dans un nouveau domaine. Quand on crée une entreprise il faut constamment sortir de sa zone de confort, cela devient quelque chose de normal. Il faut apprivoiser ses peurs avant de communiquer, de se montrer, ou de répondre à des demandes de partenariats. Il faut prendre confiance en soi et avancer par petits pas pour faire grandir son entreprise.

 

Si vous hésitez à travailler avec Mélanie, vous pouvez déjà découvrir tous les contenus qui sont proposés sur le site internet, sur les réseaux, ou de participer à des événements. J’avais moi-même participé à un de tes webinaires qui était très intéressant. Cela permet de découvrir ta démarche. Et bien sûr échangez avec elle de vive voix car des consultations gratuites sont proposées pour échanger sur notre projet. L’idéal c’est d’être au clair sur vos attentes et de les partager avec elle pour voir si cela correspond à ce que vous recherchez. Si vous hésitez c’est que vous vous posez encore des questions, donc ne pas hésiter à échanger avec Mélanie pour voir si cela matche.

 

Je dirais tout simplement merci pour cet accompagnement qui a été riche en émotions et en apprentissages. C’était un plaisir d’échanger avec toi régulièrement. Cet accompagnement va encore m’accompagner pendant les prochains mois. Merci pour ta bienveillance.

Tu as aussi besoin de structurer tes (nombreuses) idées pour une stratégie plus impactante ? Parlons-en !

Eléonore
(Bordeaux- France)

De pâtissière à organisatrice
de brunchs gourmands à domicile

Je suis Eléonore, j’ai 30 ans et je me suis reconvertie dans la pâtisserie il y a 7 ans.

J’ai fait une une formation CAP pâtisserie puis j’ai fait une formation en cuisine et traiteur.

Suis à cela j’ai travaillé principalement dans des restaurants étoilés et j’ai réussi à évoluer dans mon domaine.

Mon projet porte sur la proposition de brunchs à domicile ou en entreprise. Il s’agit de proposer des buffets festifs à base de pâtisserie, gâteaux, brioches et boissons, avec une option salée. Le principe est d’apporter quelque chose qui permette au client de passer des moments conviviaux, de partager de bonnes choses réalisées maison, locales et de saison pour profiter au maximum de la valeur des produits.

J’ai beaucoup travaillé pour des restaurateur mais j’ai toujours été indépendante et très créative. Cette créativité est plus simple à satisfaire quand on crée son propre environnement. J’avais envie de porter mon entreprise pour pouvoir évoluer, en apprendre sur moi-même et me montrer à moi-même de quoi je suis capable. Je me suis donc dis pourquoi pas lancer un début de projet, voir ce qu’il est possible de réaliser et ce qu’il peut en ressortir et aussi créer un environnement de restauration sympa. Les milieux de la restauration sont parfois compliqués, ce n’est pas simple de tomber sur ce qu’on recherche professionnellement, alors autant le créer soi-même.

Il y a 4 mois, après une année covid sans travail, j’avais retrouvé un emploi saisonnier dans un restaurant en Bretagne pour remettre un pied à l’étrier et grossir le portefeuille mais aussi pour travailler sur des points personnels.

Je cherchais des formations, avec l’optique de trouver quelque chose qui me stimule pour avancer et je suis tombée sur le site de Mélanie. Je voulais mettre en place mes idées mais je ne savais pas comment ni par quoi commencer ou par quel chemin. 

J’avais besoin de quelque chose qui me cadre pour connaître la bonne direction à prendre, qui me stimule avec un bon échange, et ton accompagnement correspondait à mes attentes.

Au départ, j’avais un gros projet de concept de boutique pâtisserie, chinage et événementiel mais j’ai fait le choix de commencer par ce concept de brunch. Chaque projet doit pouvoir commencer simplement avant d’aboutir à un projet plus énorme. Après réflexion, ce concept de brunch correspondait à ce que j’aime faire et je me suis dit autant commencer par cela et avancer par paliers jusqu’au projet final. Il faut être réaliste par rapport au moyen qu’on a au démarrage et cette était bien pour commencer tout en satisfaisant le client et à la fois m’apporter quelque chose d’intéressant.

L’accompagnement me correspondait à 100%. Il regroupait ce que je recherchait depuis longtemps : un accompagnement de fond, humain, simple et de fond. Il permet de travailler sur soi pour réussir son projet. Il est vrai que certaines formations ne sont pas assez poussées, or, j’aime bien aller loin.

Pour trouver l’investissement nécessaire à cet accompagnement, j’ai travaillé et mis de coté tous les mois la somme.

Les résultats sont positifs car j’ai pu « faire le ménage » sur mes idées, la façon de voir les choses, j’ai moins de doutes. J’ai plus de compréhension et je sais où j’en suis parce qu’on a avancé par étapes. L’accompagnement m’a permis d’y voir clair, de savoir par quoi je dois commencer, pour savoir où arriver. J’ai également pu avancer sur moi personnellement sur ce que je veux et avoir de nouvelles idées d’ouverture professionnelles et de projets.

Aujourd’hui j’ai l’offre et les tarifs, et je vais pouvoir mettre en place le projet, communiquer dessus, avoir des clients testeurs pour affiner le contour de mes offres et savoir quoi proposer au client.

On a tous des doutes, on peut penser qu’on n’est pas capable de construire un projet ou de trouver des solutions. Mais il faut foncer et se lancer car tant qu’on ne se lance pas on n’y arrivera pas. On se posera toujours des questions sur nos compétences. L’idéal c’est de se dire « j’y vais ça ne peut que m’apporter du positif ».

C’était une expérience incroyable qui permet d’avancer sur soi et ses projets. Et même si ça n’aboutissait pas, ou s’il est différent, il faut se dire qu’il faut toujours tenter sa chance, travailler sur soi car cela permet de dépoussiérer certaines choses pour voir plus loin.

Tu veux aussi lancer ton projet Food et clarifier tes idées ? Parlons-en !

Claire
(Paris - France)

De cheffe de son propre restaurant
à traiteur post-partum

Je suis Claire et je suis la fondatrice de Doula Culinaire. J’accompagne les mamans en post-partum avec des repas pour les soutenir au moment où elles rentrent à leur domicile.

Je suis en cuisine depuis 18 ans, passionnée par ce métier. J’ai fait l’école Ferrandi et mon apprentissage chez Ducasse au Plaza Athénée, puis j’ai travaillé dans le groupe Ducasse en Suisse, à Monaco.

Je viens d’une famille de restaurateurs, j’ai donc rejoins mon père dans son restaurant. Nous avons repris une affaire sur Paris et j’y travaille depuis 10 ans.

Cela fait plusieurs années que je réfléchis à une autre orientation dans le milieu culinaire. Je tenais à aider au travers de la cuisine mais je n’arrivais pas à trouver ce que je pouvais faire. Je me torturais l’esprit mais rien ne venait.

Avant qu’on se rencontre, je travaillais toujours chez mes parents, je m’étais lancée en auto-entrepreneure pendant le Covid comme cheffe à domicile. Je sentais que ce n’était toujours pas mon truc. Il me manquait un petit quelque chose. J’étais complètement perdue.

J’espérais que tu m’aides à avoir le déclic, à trouver ma voie, qui me plaise, et qui soit alignée avec mes valeurs.

Durant l’accompagnement, à un moment j’ai cru avoir trouvé puis j’ai senti au fond de moi que ce n’était pas ça. Alors j’ai osé t’en parler, on a échangé et tu m’as proposé de revoir certains points de mon introspection. Et là j’ai vu clair ! Tu as fait remonter des choses qui étaient au fond de moi mais qui ne sortaient pas.

J’ai choisis de travailler avec toi sur recommandation mais aussi pour ton approche.

Pour financer mon accompagnement, j’ai fait le choix de régler en plusieurs fois car je n’avais pas cette somme tout de suite.

En 4 mois d’accompagnement j’ai fait du chemin ! J’ai créé Doula Culinaire, je suis en train de construire mon site internet, j’ai finalisé mes offres, j’ai une ligne de conduite que tu m’as transmise et j’ai commencé à communiquer sur mon activité. Il y a eu des femmes qui ont testé mes plats et qui m’ont fait un super retour !

Le plus grand changement que j’ai vécu c’est le fait d’avoir enfin trouvé ce que je voulais faire.

Je venais vraiment de loin ! Tu as su m’accompagner, tu as su dire ce qu’il fallait au moment où il fallait, tu as levé les barrières des peurs et ça a laissé place à toutes mes idées.

C’est un travail où on se recentre sur soi, cela fait ressortir plein de choses. C’est vraiment important de trouver sa « mission de vie ».

Tu veux aussi trouver ta voie dans la Food, qui te plaise et qui soit alignée avec tes valeurs ?

Mélanie
(Beaune - France)

De propriétaire de bar découragée à dirigeante alignée
avec son coeur de métier

4 mois après l’ouverture j’ai eu l’impression de partir dans tous les sens alors que le principe de mon établissement est la simplicité, le partage et la convivialité.
Pendant la période creuse du Covid, j’ai voulu proposer de plus en plus de choses.

Je voyais que cela ne marchait pas particulièrement alors j’en ai fait encore et toujours plus.
Cette sur enchère de propositions n’a fait que de me décourager et me fatiguer. Et je me suis aperçue que je ne faisais par particulièrement plus de chiffre d’affaires.

C’était même le contraire.
Mais j’ai eu peur de tout stopper et de revenir d’un seul coup à mon cœur de métier. Peur de la réaction des clients ou que ce soit mal vu.

J’ai suivi les conseils et je me suis recentrée sur mon activité principale. Et bien, personne ne m’a fait remarquer quoi que ce soit : j’ai toujours mes clients et ils viennent simplement passer du bon temps ici !

Tu as également besoin d’y voir plus clair pour identifier les bonnes décisions à prendre ?